Les louuuups .. sont entrés dans .. la Brévine
Neuchâtel : un enclos 7 fils, rempart efficace face à la meute de la Brévine
Dans les montagnes neuchâteloises, la présence de la meute de la Brévine est aujourd’hui une réalité.
La cohabitation entre loups et bétail n’est possible que grâce à des mesures de protection solides, financées en partie par l’argent public et soutenues par des éleveurs engagés.
Cet enclos électrique à 7 fils, soigneusement entretenu, illustre la bonne pratique :
Protection jour et nuit : le courant reste activé en permanence, car un loup n’attend pas le lever du jour pour s’approcher.
Tension suffisante : au moins 4 000 à 5 000 volts pour un effet réellement dissuasif.
Surveillance régulière : contrôle de la végétation, des isolateurs et des portillons, souvent les points faibles.
Dans un contexte où les tirs de régulation sont parfois présentés comme la seule réponse, cet exemple prouve qu’une coexistence intelligente est possible.
À Neuchâtel comme ailleurs, continuons à exiger que ces solutions de protection soient généralisées plutôt que de céder à la facilité des abattages.
Protéger le bétail, c’est protéger la biodiversité et montrer qu’un autre choix de société est possible

Toutes les réactions :
Neuchâtel : un enclos 7 fils, rempart efficace face à la meute de la Brévine
Dans les montagnes neuchâteloises, la présence de la meute de la Brévine est aujourd’hui une réalité.
La cohabitation entre loups et bétail n’est possible que grâce à des mesures de protection solides, financées en partie par l’argent public et soutenues par des éleveurs engagés.
Cet enclos électrique à 7 fils, soigneusement entretenu, illustre la bonne pratique :
Protection jour et nuit : le courant reste activé en permanence, car un loup n’attend pas le lever du jour pour s’approcher.
Tension suffisante : au moins 4 000 à 5 000 volts pour un effet réellement dissuasif.
Surveillance régulière : contrôle de la végétation, des isolateurs et des portillons, souvent les points faibles.
Dans un contexte où les tirs de régulation sont parfois présentés comme la seule réponse, cet exemple prouve qu’une coexistence intelligente est possible.
À Neuchâtel comme ailleurs, continuons à exiger que ces solutions de protection soient généralisées plutôt que de céder à la facilité des abattages.
Protéger le bétail, c’est protéger la biodiversité et montrer qu’un autre choix de société est possible

Toutes les réactions :
Neuchâtel : un enclos 7 fils, rempart efficace face à la meute de la Brévine
Dans les montagnes neuchâteloises, la présence de la meute de la Brévine est aujourd’hui une réalité.
La cohabitation entre loups et bétail n’est possible que grâce à des mesures de protection solides, financées en partie par l’argent public et soutenues par des éleveurs engagés.
Cet enclos électrique à 7 fils, soigneusement entretenu, illustre la bonne pratique :
Protection jour et nuit : le courant reste activé en permanence, car un loup n’attend pas le lever du jour pour s’approcher.
Tension suffisante : au moins 4 000 à 5 000 volts pour un effet réellement dissuasif.
Surveillance régulière : contrôle de la végétation, des isolateurs et des portillons, souvent les points faibles.
Dans un contexte où les tirs de régulation sont parfois présentés comme la seule réponse, cet exemple prouve qu’une coexistence intelligente est possible.
À Neuchâtel comme ailleurs, continuons à exiger que ces solutions de protection soient généralisées plutôt que de céder à la facilité des abattages.
Protéger le bétail, c’est protéger la biodiversité et montrer qu’un autre choix de société est possible