Ils nous font confiance, faites leur confiance.
((/sites/smblog/dotclear/public/.literie_m.jpg|literie.jpg||literie.jpg, juil. 2012))
Continuer la lecture((/sites/smblog/dotclear/public/.literie_m.jpg|literie.jpg||literie.jpg, juil. 2012))
Continuer la lecture((/sites/smblog/dotclear/public/.360-275-276_m.jpg|360-275-276.jpg||360-275-276.jpg, juil. 2012))
Continuer la lectureARC-ET-SENANS 12e Festival des jardins Avec la participation de l’école d’horticulture Evologia de Cernier (NE). Saline royale, 25610 Arc-et-Senans. Jusqu’au 21 octobre 2012, tous les jours de 9 h à 18 h (septembre), de 9 h à 19 h (juillet et août), de 9 h à 12 h et de 14 h à 18 h (octobre).
Continuer la lectureDes Nouvelles de la mort et de ses petits Anne-Lise Grobéty Éditions Bernard Campiche Toute l’histoire des « Mémoires intestines d’Islo Pers, fi ls du Grand humeur du Roi, qui succéda à son père de manière éphémère » se développe, se modifi e, s’accélère ou se termine au gré des titres de chapitres qui sont à eux seuls tout un programme de vie : Dehiscence, Efflorescence Turgescence, Effervescence, Semence.
Continuer la lectureSuisse Magazine : Julien Prost, vous êtes le « fabricant » de Suisse Magazine chez Chirat, selon le nom donné à l’interlocuteur impression, façonnage et expédition. Quelles sont les étapes de votre travail ? Julien Prost : Dès l’arrivée des fi chiers, je rédige différents ordres de fabrication « OF » via un système de gestion de production. Ce système me permet d’indiquer à chaque service (pré-presse, impression, façonnage) les opérations à effectuer pour le bon déroulement de la fabrication de Suisse Magazine. Une fois que votre rédacteur en chef nous donne son « accord BAT », les responsables des services impression et façonnage récupèrent ces ordres de fabrication. Je m’assure ensuite du suivi de la production, et comme vous le disiez j’ai le rôle d’interlocuteur entre les différents services.
Continuer la lectureL’acteur américain Yul Brynner est décédé en 1985, il y aura 27 ans cette année. Diffi cile de savoir pourquoi sa dépouille repose désormais dans le petit cimetière de l’abbaye royale de Saint-Michel-de-Bois- Aubry en Touraine. Néanmoins, Bertrand Beyern 1 nous apporte un début de réponse : « Après la crémation à New York, les cendres de l’artiste, dont la foi orthodoxe ne s’était jamais démentie, furent conservées dans leur propriété du Calvados par sa veuve qui désirait inhumer l’urne à Sainte-Geneviève-des-Bois (Essonne). Faute d’y obtenir une concession, elle choisit cet endroit… »
Continuer la lecture((/sites/smblog/dotclear/public/.1eraout_m.jpg|1eraout.jpg||1eraout.jpg, juil. 2012))
Continuer la lectureLes saint-bernard des airs, c’est ainsi que l’on pourrait dénommer tous ceux qui avec passion se consacrent à la noble tâche souvent périlleuse du sauvetage aérien. Fondée en 1952, la Garde aérienne suisse de sauvetage a pour but d’apporter une assistance médicale aérienne. Fondation indépendante d’utilité publique, à but non lucratif, elle applique les principes de la Croix-Rouge qui sont d’assister toute personne en détresse, sans distinction de situation financière, position sociale, nationalité, race, religion ou convictions politiques et d’apporter son aide partout où l’engagement de ses moyens permet d’épargner ou de protéger la vie ou la santé des victimes.
Continuer la lectureJaponais, chinois, français, allemand, italien… Probablement toutes les langues de la terre sont représentées dans cet endroit insolite, carrefour de plusieurs lignes de chemin de fer et plate-forme d’accession pour le nirvana helvétique. Bienvenue à quelque 2 000 mètres, à la Petite Scheidegg. Dans quelques instants, vous embarquerez dans une belle chenille toute rouge, vous pénètrerez dans l’antre de l’ogre, frôlerez la capuche du moine et vous approcherez des cimes de la vierge. Au Jungfraujoch, à 3 454 m précisément, vous achevez votre voyage ô combien dépaysant dans la gare la plus haute d’Europe.
Continuer la lectureMontreux, perle de la Riviera vaudoise était une belle endormie appréciée des touristes anglais qui aimaient son calme et son climat hivernal à l’abri de la bise. Au cours des ans, la ville avait pris un aspect désuet. Dès 1951, l’entrepreneur visionnaire Raymond Jaussi, directeur de l’offi ce du tourisme, lui donne une nouvelle vie. Quelques années plus tard, idée géniale, il engage un jeune homme, Claude Nobs qui est son exact contraire.
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