Pour en finir avec les gesticulations de Swisscommunity
Tout ceci ou presque a déjà été publié, mais malheureusement il y en a qui ont la comprennette un peu dure. Répétons donc.
Il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée.
Les mêmes qui, hier ou avant hier, vantaient le côté ouvert et libre de Swisscommunity (alors que nous savons tout que cette liberté sauce SC passe par une approbation préalable, une censure au fil de l’eau et une éjection que la charte ne nécessite même pas de motiver) parlent aujourd’hui au sujet de Swisscommunity d’un « Selbst ein geschlossenes Forum – so wie es SwissCommunity ist » autrement dit d’un forum fermé. La contradiction ne tue plus, le ridicule non plus.
Alors après les beaux discours d’hier sur la liberté de parole version Swisscommunity, pourquoi s’obstinent-ils à maintenant se réclamer « fermés ». C’est simple, c’est parce qu’ils pensent que en se réclamant fermés, ils pourront continuer à raconter n’importe quoi dans leur petit monde, sans être contredits. Et au passage, cela ne les gène pas de mettre directement en nominativement en cause tel ou tel (moi, à qui ça en touche une sans faire bouger l’autre, mais d’autres aussi ..) au mépris complet des textes sur la diffamation publique par voie de presse.
Nous l’avions déjà précisé ici http://www.suissemagazine.com/sites/smblog/dotclear/index.php?post/2014/11/17/Les-chiens-aboient%2C-la-caravane-passe. Leur crasse méconnaissance du droit de la presse en général et du droit français en particulier leur fait oublier ou méconnaître que Swisscommunity, compte tenu de ses mesures de filtrage à faire rigoler un enfant de deux ans, et de l’absence de tout contrôle sérieux que les modérateurs sont les premiers à admettre, n’est pas un forum privé mais un forum ouvert. Il n’y a que SC et l’OSE pour se réclamer privés et fermés le matin et prétendre l’après midi représenter et concerner 700 000 Suisses dans le Monde. La contradiction est flagrante mais ils ne semblent pas la voir.
L’exception de presse
Et encore, seraient-ils un forum fermé, que la presse, qui est libre, pourrait quand même rendre compte de ce qui s’y passe, de ce qu’on lui raconte et transmet, de ce qu’elle entend, ou de ce qu’elle constate. Eh oui, je comprends que cela les désole, car ils confondent volontiers presse et communication aux ordres, mais la presse, la vraie, dit ce qu’elle veut et n’a pas à dévoiler ses sources.
Finalement le seul bon sens en la matière vient d’une femme, consul honoraire de Suisse, présidente d’un club Suisse et l’une des premières à expliquer que l’adhésion à l’OSE ne sert pas à grand chose, quand elle écrit » how careful one has to be online. ». Eh oui, .. le bon sens est là … arrêtez donc de raconter n’importe quoi en vous pensant chaudement protégés par une charte inapplicable, et rendez-vous compte qu’au XXIème siècle, les barrières et les censures ca ne marche plus pour garder secret des propos que vous n’osez pas assumer.
Et à part ça ?
C’est à se demander quelle est la cible que cherche SC ? Peut-être à devenir le lieu de rassemblement de la brigade internationale des fatals flatteurs http://leblogdedorisglenisson.hautetfort.com/archive/2009/03/21/les-fausse-flagorneries-des-fatals-flatteurs.html http://pasdutoutalouest.over-blog.com/article-21723163-6.html qui porte un si joli nom, visiblement peu connu des généalogistes. Evidemment, avec des contributeurs qui penseraient tous pareils et qui cireaient les pompes des modérateurs, cela serait le Graal .. mais il semble que même en essayant d’étouffer tout ce qui porte la contradiction, et même en essayant de me mettre sur le dos tout les ennuis de SC depuis bien avant que j’en entende parler, … ça ne fonctionne pas. Et les pauvres tentatives d’expliquer que j’ai fait fuir 700 000 suisses de l’étranger (au moins) de SC cadrent mal avec les messages sympathiques reçus qui soulignent que, sans forcément être d’accord avec ce que je disais, ils appréciaient au moins la liberté de ton et le contenu technique.
Et pourtant, des sujets « » »internes » » » de débat, auquel il serait bon que les modérateurs et les membres du CSE répondent, il y en a plein.
Quand quelqu’un vient et demande à quoi cela sert d’adhérer à l’OSE, les « habitués », consule inclus, lui répondent tous à la chaîne que cela ne sert à rien, et les modérateurs et autre conseillers du CSE se murent dans un silence .. étonnant. Nous avions fait l’expérience il y a fort longtemps, d’ouvrir un fil, qui est en partie ici, sur « que les pros viennent présenter leurs arguments » .. grand silence.
Ou bien, alors il faudrait que quelqu’un se dévoue pour répondre à la question de « Mme Michèle » dont l’association a démissionné de l’UASF mais aimerait savoir si oui ou non elle reste membre de l’OSE.
La réponse technique, Madame Michèle,(réponse que j’avais postée plusieurs fois sur SC mais que l’OSE s’est empressée d’effacer) est que les statuts de l’OSE prévoient que dans les pays où il existe une faîtière, ce qui est le cas en France avec l’UASF, la reconnaissance préalable par la faîtière est une obligation. Autrement dit, les statuts de l’OSE imposent que l’on passe d’abord par l’UASF. Seulement voilà, il y a de plus en plus d’associations en France qui claquent la porte de l’UASF (ou qui n’y sont jamais rentrées) et c’est la même chose, par exemple au Royaume-Uni, où, nous le disions plus haut, la présidente d’une grosse association, par ailleurs consule honoraire, est la première à ne pas adhérer à la faitière et à répondre à qui lui demande que il faut vivre heureux dans un club et se passer de toutes ces complications d’adhésion. Alors, juridiquement, Madame Michèle, NON votre association n’est plus reconnue par l’OSE.
Seulement voilà, là dessus aussi, l’OSE aime à invoquer le droit, mais est moins diligente à l’appliquer. Elle s’est rendu compte que politiquement, afin de prétendre faussement représenter 700 000 suisses à l’étranger, elle devait ne pas être trop regardante sur la qualité des adhésions, sur le préalable des faîtières, sur le caractère suisse de l’association et du comité, et sur la démocratie électorale dans ses « filailes » .. En cela, l’OSE est plus intelligente que SC, elle a compris plus tôt qu’en mettant tout le monde dehors, il ne lui restera qu’à fermer la porte. Alors celle qui se veut la maison commune des Suisses de l’Etranger, de ceux qui la reconnaissent comme de ceux qui aimeraient pouvoir l’ignorer et qu’elle cesse de parler sans droit ni titre en leur nom, est devenue une sorte de maison de tolérance où on ne regarde pas trop les détails ceux qui veulent encore bien participer, mêm de loin. Donc, ne vous inquiétez pas trop, « Madame Michèle », il est peu probable que l’OSE, qui a déjà bien du mal à trouver des affiliés en France, vous jette dehors et fasse encore baisser les compteurs. Et puis, comme l’adhésion à l’OSE est gratuite ( ce sont les impôts des résidents qui paient) alors que celle de l’UASF est payante, pourquoi vous gêner.
Ceci dit, nous allons passer à d’autres sujets. Une petite trentaine de billets sur l’OSE en deux ans et demi – soit trente mois – soit une moyenne de un par mois (et non pas un par jour comme certains, qui ont peut-être trop bu), le prétendent, c’est bien assez. Et comparé à l’activité atone de SC c’est même beaucoup.
Retour aux vrais sujets et à la vraie vie.
Nota bene à ceux qui souhaitent commenter ce billet de blog qui n’est pas un forum. Les commentaires sont ouverts. Ceux qui sont nominativement inscrits peuvent poster et valider eux-même. Ceux qui ne le sont pas peuvent poster, mais le commentaire sera alors filtré par le robot qui supprime les commentaires spam « sex, viagra, etc .. » et qui impose, afin de vérifier qu’il a à faire à un « vrai » suisse, de répondre à une question, de culture suisse. Peut-être est-ce là que certains ont été empêchés d’entrer ?Pour ceux qui n’y arrivent vraiment pas, qu’ils envoient donc leur commentaire par mail à la rédaction, on les mettra en ligne nous même, sauf bien sur s’ils violent les textes locaux. Ah .. un détail, ne faites pas comme l’OSE qui adresse un commentaire le jour J et se plaint le jour J+1 qu’il soit publié.