La démocratie vue par les membres du CSE
A lire de bas en haut …
Discussion sur « ASO-Wahl der Auslandschweizerräte »
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Philippe ALLIAUME écrit:
Halo Peter
C’est dommage que vous ne lisiez pas, ou ne compreniez pas ce qui est écrit, car vous auriez constaté que c’est un sujet nouveau.Mais bon, c’est sur que si vous prenez comme grille de lecture c’est écrit en français, ou ça vient de France, alors ca doit être traité par le serice KzB de l’ASO, vous arrivez vite à répondre la même chose quelle que soit la question.
J’ai bien tenté de lancer d’autres sujets, récemment, comme « merci à ceux qui souhaitent le statu quo et qui en sont contents ( exception membres CSE et personnel ASO) de venir nous l’expliquer et meci aux autres de ne pas venir les perturber », mais vous aurez noté que aucun n’est venu, sauf des membres du CSE qui semblaient vouloir passer avant que les autres ne s’expriment ?
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Peter Bannwart écrit:
Hallo Phillippe, kannst du bitte einmal eine andere Platte auflegen, als immer dasselbe von dir zu geben?
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Philippe ALLIAUME écrit:
Merci Michèle pour ce résumé.
Il aborde d’ailleurs en creux une question qui n’a jamais été résolue clairement qui est celle des rôles et pouvoirs respectifs de l’ASO et des faitières.
Les faîtieres sont en théorie et en pratique dans certains pays celles qui « agréent ou présentent » les candidatures des associations à l’OSE et des membres au CSE.
En tant que telles,on pouvait penser qu’elles étaient tenues d’appliquer et de faire appliquer le réglement de l’OSE, en étant en quelque sort leur délégataire pour le pays concerné.
Mais nous avons constaté que, en France notamment, la faitiere s’autorise parfois à violer ouvertement le réglement de l’OSE et que l’OSE ne s’en émeut pas plus que cela. ( On ne va pas redétailler le sujet, puisque on a observé que non contents de se laver les mains de la violation de leur propre réglement, les membres du CSE s’agacent quand on en parle).
En revanche, les mêmes faitières, quand elles ont envie de faire un coup de force, n’hésitent pas à affirmer qu’elles le font « d’ordre et pour compte de l’ASO », ce qui semble faux, puisque quand on demande à l’ASO, elle répond « ah non,c’est pas moi, je ne suis pas concerné ».
Il est clair qu’il faudra un jour régler ce problème de qui fait quoi et qui est responsable de quoi, car vu que le CSE n’a pas l’air d’^tre assez prix au sérieux par les vrais parlementaires pour être inscrit dans la loi, qui va réellement s’occuper des listes électorales ?
La Confédération ? ce serait une bonne solution, mais la mise à disposition de registres officiels pour des élections privées pose de gros problèmes juridiques ?
Le CSE ? Il ‘na clairement pas les moyens humains de le faire, et devra alors s’appuyer sur les faitières. ET tant qu’il n’aura pas démontré sa capacité à mettre au pas les faitières et à les forcer à respecter, pour commencer , son propre réglement intérieur, les élections, même au suffrage direct, ne sont pas près d’être prises au sérieux.
Rien qu’ici, mais ce n’est pas parce que d’autres ferment les yeux ou n’en parlent pas que c’est mieux chez eux, nous avons quand même constaté à deux reprises des élections au plus haut niveau ( de l’ASO) fraudées par des mandats fictifs ou irréguliers. La réponse de l’Aso a été « circulez, il n’y a rien à voir ».
Imaginez demain les listes électorales « contrôlées » par les mêmes comiques. Le taux de participation va être exceptionnel. Peu de jeunes, certes, mais pas mal de personnes âgées et encore plus de morts vont voter ..
La revendication de « suffrage universel et direct pour tous les suisses de l’étranger » apparait naturel, mais sa mise en oeuvre n’est pas ausi facile que ce qu’on veut bien dire, et l’OSE, une fois de plus, est face à une contradiction, car en s’accrochant à son statut privé, elle est la première à entraver la mise en place de ce suffrage direct, alors qu’il semble qu’elle ait enfin compris, après 50 ans de dénégations, qu’il est indispensable à instaurer undébut de crédibilité pour ce parlementicule des Suisses à l’étranger.
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Roland Isler écrit:
Franz, wie ihr das in GB gemacht habt (Stimmzettel in der Swiss Review) ist eine sehr gute Zwischenlösung. Sicher nicht perfekt, aber ihr habt gezeigt, dass es im grossen und ganzen gut funktioniert.
Die niedrige Wahlbeteiligung ist ein Problem, dass bei fast allen Wahlen/Abstimmungen in der Schweiz existiert, die Hauptsache ist aber, dass jeder der wählen will das auch machen kann. Um die Möglichkeit das Wahlresultat zu fälschen zu vermindern gibt es bestimmt Wege. Zum Beispiel könnten die Stimmzettel direkt and das Generalkonsulat oder die Botschaft geschickt werden, die dann die Auszählung macht.
Auch die Aufgliederung der Wahl in Staaten oder Regionen (in GB, Wales, England, Scotland?) zum Beispiel war bestimmt nicht allzu schwierig und könnte auch in anderen Ländern gut funktionieren.
Auf alle Fälle sollten wir diese Lösung in betracht ziehen wenn wir in 2017 noch nicht soweit sind mit e-voting wie wir das wünschen.
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Franz Muheim écrit:
Stefania, der Grund warum das Thema verschoben wurde, ist, dass es noch nicht klar ist, ob und wie der ASR Rat im Auslandschweizergesetz erwaehnt wird. Der National- und Staenderat sind sich darueber nicht einig und das muss im Differenzverfahren bereinigt werden. Es hat keinen Sinn, ueber Wahlmodus zu diskutieren, bevor der Gesetzestext klar ist. Der ASR-Rat koennte im Prinzip von allen Schweizern gewaehlt werden, siehe meinen anderen Beitrag. Nur fehlt der politische Wille im Parlament dafuer.
In der heutigen Form hat der ASR Rat keine Befugnisse, aber wir koennen Themen erfolgreich zur Sprache bringen. Die beiden letzten Sitzungen haben wir die Hauptausgabe der Tagesschau geschafft (Erasmus und Horizonvorschungsprogramme im Maerz, Banken im August). Ein von allen Auslandschweizern gewaehlter ASR haette mehr Legitimation, und wuerde echte Kompetenzen forden.
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Michèle ETTLIN-MOLLATTE écrit:
Pour les francophones qui auraient du mal à suivre mes échanges précédents avec Franz Muheim, je vais essayer de résumer.
Franz m’a donné un grand espoir quand il a écrit que les regroupements de Suisses sur facebook par exemple seraient prochainement reconnus par l’OSE comme des associations. J’ai pensé que cette reconnaissance du « virtuel » dispenserait par conséquent toutes les associations de l’obligation d’adhérer à une organisation faîtière pour être membres de l’OSE.
Franz m’a répondu par la négative en expliquant qu’il fallait être membre pour avoir voix au chapitre.
Il est évident qu’il faut adhérer à l’OSE pour y élire et être élu (ce qui n’est pas forcément respecté partout, mais là n’est pas le débat pour l’instant).
Ma question porte sur l’obligation qu’ont les petites associations des grands pays d’adhérer à une association faitière pour pouvoir être membres de l’OSE. Je ressens cela comme une atteinte aux libertés, d’autant plus que Franz et d’autres délégués au CSE ont prié les « Français » de régler leurs problèmes entre eux. Si une petite association règle son désaccord avec la faîtière en quittant celle-ci, elle se retrouve de fait flanquée à la porte de l’OSE. C’est cela que je trouve anormal. -
milo daniel avram weiersmüller écrit:
ein blöder Spruch erläutert unsere Psychologie,
‘ am Tage nach der Revolution, wurde der Revolutionär zum Konservativen ‘,
unsere Angewohnheit, übertrieben für unsere Ideen zu kämpfen,
um uns dann erschöpft auf dem Erzielten auszuruhen,
und damit die folgenden Entwicklungsmöglichkeiten zu
blockieren,
mit allen unsern Kräften dagegen stemmen,die moderne Kommunikation wird aus psychologischen Gründen, viel zu wenig genutzt,
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Michèle ETTLIN-MOLLATTE écrit:
Du hast mich missverstanden.
Ich bestreite nicht die Tatsache, dass man Mitglied sein soll (muss).
Mein Verein ist also gern Mitglied der ASO wie viele Vereine in « kleinen » Ländern. Aber er darf anscheinend nicht « direktes Mitglied » sein wie die Vereine in « kleinen » Ländern, weil er in einem « grossen » Land ist.
Du hast selber geschrieben, dass die « mit der UASF unzufriedenen Franzosen » sich selber heraushelfen sollen, aber die einzige Hilfe, die sie von der ASO bekommen können, ist eine zugeschlagene Tür. Es ist wirklich zum Verzweifeln ! -
Franz Muheim écrit:
« Nur als Mitglied kann man mitbestimmen »
Was ist daran so schwer zu verstehen? Jeder Verein, jede Gewerkschaft, jede Nation gibt nur ihren Mitgliedern oder Mitbuergern das Recht, mitzubestimmen. Man muss beitreten oder sich einbuergern, um mitreden zu koennen und das kostet was (von Jahresbeitrag bis zu Militaerdienstpflicht). Nicht Mitglieder (Mitbuerger) koennen nicht Vereins oder Gewerkschaftspraesident (Nationalrat) werden. -
Michèle ETTLIN-MOLLATTE écrit:
« Nur als Mitglied kann man mitbestimmen »
Als Mitglied der ASO prinzipiell einwandfrei.
Wenn die einzige zu findende Lösung, um dem französischen Schlamassel zu entkommen, der Rücktritt aus der Dachorganisation ist, dann wird man also aus der ASO rausgeworfen ? Stimmt ?
Und das heisst Freiheit ? Und da darf man nicht meckern ?
Sag mir bitte, dass ich mich irre ! -
Franz Muheim écrit:
« Wenn ich Dich richtig verstehe, können und dürfen also Schweizer Gruppen dank dem Net dem bewussten Dachorganisation-Zwang entkommen ? »
1) Das habe ich nicht gesagt!
2) Was meinst Du mit Dachorganisationen? In GB haben wir the Federation of Swiss Societies UK, ist est das? In den meisten Laendern gibt es keine Dachorganisationen und ich wollte meine Eintrag so einfach wie moeglich halten. In den wenigen Laendern, in denen es diese gibt, sollte ein neuer Schweizerverein natuerlich der Dachorganisation beitreten. Das hat doch nichts mit Zwang zu tun. Nur als Mitglied kann man mitbestimmen. Ist doch einfach?
3) Dies ist meine Interpretation, ich kenne die Details, wie dies in Frankreich gehandhabt wird, nicht. -
Michèle ETTLIN-MOLLATTE écrit:
Ein paar von Deinen Sätzen finde ich höchst interessant, Franz.
Mir fällt unter anderem auf, « zB koennen sich Schweizer in Gruppen (Facebook et al) zusammentun und sich bei der ASO als Mitglied bewerben. Der ASR muss dies an der naechsten Sitzung bestaetigen, aber dies ist normalerweise der Fall. Damit koennen neue Schweizersektionen sich bei den Wahlen beteiligen. »
Wenn ich Dich richtig verstehe, können und dürfen also Schweizer Gruppen dank dem Net dem bewussten Dachorganisation-Zwang entkommen ? Du kannst Dir nicht vorstellen, was für eine Erleichterung das für mich bedeuten würde, und ich bin vielleicht nicht die einzige. Ich glaube nämlich, dass das von Milo erwähnte alte ungelöste Problem teilweise auf diesem Dachorganisation-Zwang beruht.
Ich weiss schon lange, dass einige Länder (unter denen GB, nicht wahr ?) bei der letztzen ASR-Wahl von diesem Zwang befreit waren. Warum einige und nicht alle ? Da darf man sich nicht wundern, wenn unter dem Joch gemeckert wird…
Hoffentlich kannst Du mir bestätigen, dass ich Deine Worte richtig verstanden habe. -
Franz Muheim écrit:
Hier ein paar Ueberlegungen:
Viele sind der Meinung, dass der Status quo nicht befriedigend ist. Die Schweizervereine spielen nicht mehr dieselbe Rolle spielen wie frueher. Die Statuten schreiben aber die Wahl der Auslandschweizerraete (ASR) durch die Schweizervereine vor, aber Statuten kann man aendern.
Die Wahl der ASR von allen Schweizern wird von einigen verlangt und Phillippe erinnerte uns daran, dass diese Forderung nichts neues ist. Es ist jedoch nicht sehr wahrscheinlich, dass dies fuer die naechsten Wahlen in 2017 eingefuehrt werden kann. Ich sehe zuwenig politischen Willen im Parlament, aber wir sollten das Bereinigungsverfahren des Auslaendergesetzes abwarten. Es gibt einige technische Schwierigkeiten: E-voting ist nicht in allen Kantonen eingefuehrt. Alle Schweizer heisst, dass auch Leute ohne Internet waehlen koennen sollten. Die Wahl waehre wie die Nationalratswahlen, nur das die Auslandschweizern in Stimmkreisen eingeteilt werden. Diese existieren nicht (im Prinzip ein Excel spreadsheet mit 200 Laendern und 3000 Gemeinden). Eine solche Wahl wuerde den ASR politisieren, da die Parteien ihren Anteil sichern wollten. Die Kosten waeren auch wie bei einer Abstimmung. Zusammenfassung: eine ASR Wahl mit Beteiligung von allen Auslandschweizern ist moeglich, aber die Einfuehrung wird noch eine Weile dauern.
Gibt es eine Zwischenloesung, welche die jetzige Situation verbessern koennte? Was weiterhin notwendig sein wird, ist, dass die Waehlerschaft klar definiert ist. zB koennen sich Schweizer in Gruppen (Facebook et al) zusammentun und sich bei der ASO als Mitglied bewerben. Der ASR muss dies an der naechsten Sitzung bestaetigen, aber dies ist normalerweise der Fall. Damit koennen neue Schweizersektionen sich bei den Wahlen beteiligen. Den auf Individualitaet pochenden Auslandschweizern, welche sich weigern, sich an einen Schweizerverein, …, anzuschliessen, kann man vorwerfen, dass nur fordern und nichts geben (i.e. ~$20 Jahresbeitrag) nicht funktioniert. In Grossbritannien haben in 2013 nicht nur die Schweizervereine, sondern alle Auslandschweizer mittels einem Wahlzettel der SwissRevue waehlen koennen. Das gibt uns UK ASRs die Legitimitaet, alle 30000 Auslandschweizer in der UK zu repraesentieren. Dieses Mischungsverfahren hat aber seine Tuecken, da nur ~1% der Wahlberechtigen waehlten und es relativ einfach waere, eine solche Wahl zu faelschen. Man muss auch sehen, dass in vielen Regionen es immer noch schwierig ist, dass sich Leute zur Verfuegung stellen.
Dieses ASR Mitglied waere interessiert an konstruktiven Vorschlaegen.
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Gilbert Keller écrit:
D’accord Michèle, mais le CSE n’est pas César…………
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Philippe ALLIAUME écrit:
Entschuldigung, zu viele auf meine Archiv sind in Französich.
Aber Heute für deutschsprachende Lesern, eine berühmte Fabel, « die Zwölf Arbeiten des Herculose ».
swisscommunity.org/tinyurl/53fd96ae06dc8
Wie ASO « draußen vor de Tür » der NHG standt.
Der Schrifter ist (war +) ein berühmter Mitglied der ASR.
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Michèle ETTLIN-MOLLATTE écrit:
Die von Dir beschriebene Situation ist nicht neu. Davon war schon beim Luganokongress 1967 die Rede cf. 2. Teil des & V. des GEHP-Berichtes swisscommunity.org/tinyurl/53fd8d26c54d7.
Die beste von den gestern auf Deutsch verfassten Erklärungen scheint mir die von Stefania zu sein. Klemme ist ja das richtige Wort. -
Alfred Steiner écrit:
Hallo Ruth
Deine Meinung zu diesem Thema, gefällt mir sehr gut. Sie ist eigentlich nichts anderes, wie demokratisch.
Vorsichtig gesagt, meine ich, dass die Schweizer Club’s, Circles und wie sie alle heissen, heute nicht mehr den selben Zweck erfüllen, wie das früher mal war.
Unser Swiss Circle in Sri Lanka wurde dazumal « The Schweizerischer Hülfsverein » getauft und wenn die dazumaligen Zu- und Umstände beachtet und berücksichtigt werden, war die ASO die folgerichtige Entwicklung. swisscommunity.org/tinyurl/53fd4df915806/
Wie Ruth aber sagt, ist diese Basis in der heutigen Zeit nicht mehr wirklich aktuell.
Das zeigt sich zB. auch an unerer 1.Augustveranstaltung. Ich war happy, dieses Jahr sogar unseren Botschafter anzutreffen. Meist ist es aber ein Treffen, der « nicht in die Ferien Verreister ».
Es gibt auch monatlich einen Treff in unserer Hauptstadt Colombo. Nur die Anzahl der Anwesenden zeigt auch dort, dass vielleicht 10% der auf der Botschaft angemeldeten Schweizerinnen und Schweizern, an solchen Anlässen teilnehmen.
Natürlich sind die Gründe für die Abwesenheit mannigfaltig, aber mir gibt es zu denken, wenn ein harter Kern, des jeweiligen Schweizer Clubs, über solch wichtige Entscheide bestimmen werden.
Ich gehöre nicht mehr ganz zu den Jungen, aber ich bezahle den Mitgliederbeitrag aus Solidarität und nicht wirklich aus Überzeugung, weil mir schlichtweg der Zusammenhang der Mitglieder fehlt.
Es gibt noch weitere Aspekte, belasse es aber bei den erwähnten.Ich meine, dass es in anderen Ländern gleich, oder zumindest ähnlich ist. Wenn ich zB. mit Thailand vergleiche, sind dort am 1.August immerhin 1000 Gäste anwesend gewesen, bei uns hingegen waren es geschätzte 50 bis 60 . Natürlich muss auch berücksichtigt werden, dass wir hier in Sri Lanka, nur um die 350 bis 400, auf der Botschaft angemeldete Schweizerinnen und Schweizer verzeichnen können.
Von denen ist aber nur etwa ein Drittel Mitglied des Swiss Circles.Eine Statutenänderung würde ich darum begrüssen.
Gruss von der Insel
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Michèle ETTLIN-MOLLATTE écrit:
Là encore, je ne réponds pas à Philippe mais tiens à souligner l’intérêt de ces liens. Oui, ces archives sont longues à lire mais elles méritent vraiment d’être lues. Il faut savoir que d’autres avant nous ont réclamé il y a plus de 50 ans un CSE élu au SUFFRAGE UNIVERSEL. J’ai le plus profond respect pour ces têtes pensantes des Vieux Zofingiens et du GEHP. Malheureusement, quand leurs idées n’ont pas été récupérées, elles ont été enterrées, telle l’Association des Suisses de l’étranger ouverte à tous les individus moyennant une cotisation. Quelle bonne idée permettant un auto-financement du groupe et une plus grande liberté des individus !
Cela me rappelle que j’ai découvert il y a peu que les associations faîtières ne versent pas un centime à l’OSE. Cette révélation m’a choquée. En effet, en France par exemple, les « petites » associations versent une cotisation annuelle à l’UASF (100 euros pour l’ASP). Il me paraissait normal qu’une partie soit reversée à l’OSE, ne serait-ce que pour matérialiser le lien entre les « adhérents payeurs » et la tête de l’organisation au nom de laquelle on les fait payer. -
Michèle ETTLIN-MOLLATTE écrit:
Je ne réponds pas à Philippe mais je m’adresse à tous ceux qui passent ici. IL FAUT cliquer sur ce lien et lire ces pièces d’archives instructives et bouleversantes. IL FAUT découvrir ces Suisses désintéressés qui ont œuvré pour nous. Il faut rendre à César ce qui est à César.
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Philippe ALLIAUME écrit:
Certes, certes, il y a des régions où il n’y a aucun club à des centaines de kilomètres . Cela fait la moyenne avec certaines régions où il y en a un gradn nombre au m° et où leur principale occupation est de se f.. sur la g.. entre eux pour savoir qui est le plus important.
Mais il n’a jamasi été, en totu cas je l’espère, question de faire passer les votes par les clubs. Quand on voit déjà les tripotages pour les élections de « délégués » qui passent par les clubs, on pourrait craindre le pire.
La logique c’est de donner aux citoyens le droit de vote direct et l’éducation et l’information qui leur permette d’exercer intelligeamment ce droti de vote. Ensuite ils sont assez grands pour se regrouper en clubs, associations, partis ..
Le fait de vouloir créer d’abord les clubs, et ensuite de faire voter les clubs, et en plus de leur dire comment voter via le « journal unique du parti », même chez Staline, ca a fini par prendre l’eau ..
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Maryse Schild écrit:
Quel bazar! il faudrait peut-etre tout remettre a plat.
Je n´ai absolument rien contre les clubs et certains ont l´air tres actifs mais il faut etre geographiquement proche et ce n´est pas le cas de tout le monde. Je suis sure qu´il y a des pays ou si on veut aller a une reunion, il faut voyager loin. Donc en principe seuls les Suisses habitant pas trop loin d´un club pourraient voter….. (cela me fait penser a une chanson de Renaud) -
Philippe ALLIAUME écrit:
@Maryse
Certes, il faut de tout. Mais personnellement je suis membre et/ou sympathisant et/ou animateur de trois types de clubs
– des totalement fermés à internet ( avec l’âge qui va avec) mais qui n’en entretiennent pas moins pour certains des discussions intéressantes et des débats passionnants ou des missions utiles
– des totalement internet et très peu « irl » qui ont bien sur un peu le défaut de l’immédiateté et de l’absence de suite dans les actions
– des mixtes, activités réelles et sites internet actifs qui mélangent bien les deux.
En comptant, d’ailleurs, c’est 3 clubs totalement fermés à internet, 3 clubs totalement internet et 4 clubs mixtes internet/irl ( ici on a la chance (?) d’avoir bcp de clubs).
En continuant à compter, d’ailleurs, sur les 10 clubs dont je parle et dont je suis animateur, membre ou sympathisant, il n’y en a que 2 qui sont membres de l’OSE, un totalement fermé et un mixte, et .. encore .. il semble que d’ici la fin de l’année, il n’y en aura plus qu’un à l’OSE, le fermé internet.
Et j’oubliais .. sur les 10, 5 seullement s’intéressent à l’aspect démocratique de la représentation des Suisses de l’étranger, en large majorité bien sur ceux qui ne sont pas membres de l’OSE, le seul qui est membre de l’OSE ET intéressé au sujet ayant des démangeaisons importantes.
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Michèle ETTLIN-MOLLATTE écrit:
Maryse, toutes les associations suisses ne sont pas de « sympathiques » clubs pour rencontres de vétérans. Par exemple, l’ASP a écrit en février 2013 à TOUS les membres du Comité de l’OSE et n’a reçu qu’une réponse, celle de Monsieur Wyder qui annonçait que le Comité étudierait cette lettre en mars 2013 (j’attends toujours des échos de cette « étude »):
Bergerac, le 12 février 2013
A Mesdames et Messieurs les membres du Comité de l’OSE
Madame ou Monsieur,
En tant que présidente de l’Amicale des Suisses du Périgord, je relève le flou des statuts de l’OSE en ce qui concerne l’élection des membres du CSE :
Art. 5 1 Les membres de l’étranger (délégués) sont élus par les organisations faîtières reconnues.
Je vous prie donc d’agir en tant que force de proposition et de mettre à l’ordre du jour de la prochaine réunion du CSE (prévue le 16 mars 2013) une modification des statuts allant dans le sens suivant :
Art. 5 1a : Celles-ci (les organisations faîtières) donnent aux associations qu’elles regroupent les consignes nécessaires à des élections primaires (internes à chaque association).
Art. 5 1b : Ces consignes seront établies par le CSE et transmises aux organisations faîtières tous les 4 ans.
Il serait bon que ces consignes prévoient, dès l’année 2013, un contrôle du vote final en association faîtière (dépouillement et publication des résultats en présence des électeurs).
Vous remerciant par avance de l’attention que vous voudrez bien prêter à cette requête, je vous prie d’agréer, Madame ou Monsieur, l’expression de ma plus parfaite considération.
Michèle ETTLIN MOLLATTE
Présidente de l’A.S.P.L’ASP a également participé à la consultation concernant la Loi sur les Suisses de l’étranger. Voici ses propositions:
Bergerac, le 1er août 2013
Commissions des institutions politiques
Secrétariat
Services du Parlement
3003 Berne
Nous observons que la nouvelle Loi n’aborde pas la question de la représentation politique des Suisses de l’étranger.
Le chapitre 3 (art. 15 à 21) établit leurs droits politiques et les place à égalité avec les Suisses de l’intérieur. Mais il n’est jamais question de leur assurer une représentation spécifique.
Cette représentation a jusqu’à présent été assurée de manière empirique par le C.S.E., organe de l’O.S.E., qui n’apparaît pas dans la Loi et n’a de ce fait aucune valeur juridique.
D’autre part, à l’article 39 du chapitre 5, les relations envisagées entre l’O.S.E. et la Confédération sont limitées strictement au domaine financier (& 1,2,3), ce qui exclut toute validation par la Confédération de la représentativité politique d’un organe de l’O.S.E.
Dans le cadre de la consultation, nous demandons donc que la Loi reconnaisse le pouvoir représentatif du Conseil des Suisses de l’Etranger, ce qui présuppose
1) que l’élection de ce Conseil se déroule dans le respect du droit électoral fédéral,
2) que l’O.S.E. accepte le contrôle de cette élection par la Confédération.
Nous demandons également que cet ajout au texte de loi s’applique à tout mode de scrutin possible, sans attendre l’avènement d’un hypothétique vote électronique.Michèle ETTLIN-MOLLATTE
Présidente de l’A.S.P. -
Ruth Thomas-Lehmann écrit:
ausser man bringt die Statuten der Stiftung up-to-date. 🙂 Das ist im UK durchaus möglich bei Stiftungen. Ich denke auch in der Schweiz ist dies wohl so.
Ein Artikel in den Regeln der Charity Commission in England und Wales sagt zB:
Changing your charity’s governing document is allowed if the said charity » use outdated definitions ……… »
Hierzu wäre es interessant die Meinung eines Vorstandsmitglied der Stiftung zu lesen.
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Stefania Zanier écrit:
Danke Peter, wollte das Thema auch anschneiden. Ich habe mich bei meinen Juristenfreunden schlau gemacht.
Aber bitte, ich bin keine Juristin, also alle Informationen ohne Gewähr:
Ist die ASO eine Stiftung DÜRFEN rein rechtlich die Räte NUR und EXCLUSIV von den Stiftungsmitgliedern gewählt werden, d.h. von den Schweizerclubs, also keine Direktwahl durch alle Auslandschweizer möglich.
Ich verstehe dann, dass im weiteren Sinn die Mitglieder von Schweizerclubs wählen dürften, bin mir aber nicht sicher.
Ich glaube, wir stehen mit der Direktwahl von ASR-Mitgliedern in der Klemme, deswegen wohl wurde das Thema verschoben und da der Rat nicht « demokratisch » gewählt werden kann könnte das mit ein Grund sein, dass der ASR-Rat nicht im Entwurf vom ASG steht.
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Maryse Schild écrit:
Merci Philippe, ces archives sont edifiantes…et etonnantes.
Je suis d´accord avec Ruth, les clubs suisses sont certainement tres sympathiques mais la plupart des jeunes actifs ne se sentent pas representes par ces clubs. Et pourtant ils sont suisses eux aussi. De nos jours, gardons les clubs pour des rencontres ´entre Suisses´ mais tenons aussi compte de l´opinion de ceux qui preferent des moyens plus modernes pour rester en contact avec l´actualite et les problemes d´aujourd´hui. Les temps changent, adaptons-nous
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Philippe ALLIAUME écrit:
deux autres pépites documentaires qui montrent bien que les ennemis de la démocratie ne sont pas là où on croit
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Philippe ALLIAUME écrit:
quelques documents historiques pour amateur de (1) et de (2)
swisscommunity.org/tinyurl/53fc68dad17d0 -
Philippe ALLIAUME écrit:
@ Roland, dieses mal.
Das heisste NHG 🙂
Par ailleurs le parallèle avec la constitution fédérale est à double tranchant.
La CF est votée par l’ensemble des citoyens. Les statuts de l’OSE et son réglement intérieur ne sont votés par personne si ce n’est le Conseil qui ne représente que lui-même.
Le parallèle que Michèle fait avec la CGT est très intéressant, d’autant plus dans un pays comme la France où, contrairement à l’Allemagne, les syndicats sont ultra minoritaires et ont pourtant des monopoles issus de la loi. Mais bon,la France, comme exemple de démocratie, ca vieillit.
Ca reboucle bien sur las tentatives ( infructueuses à ce jour) de l’OSE de pallier son déficit de base électorale démocratique par une reconnaissance dans la loi, .. mais voilà, le parlement suisse ne s’en laisse pas si facilement compter. Il est élu, lui ..
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Philippe ALLIAUME écrit:
Hallo Roland, Ja und Entschuldigung fur das Fehler.
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Roland Isler écrit:
Hallo Phillippe. Ich nehme an Deine Nachricht ist für Peter gemeint, nicht für mich?
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Roland Isler écrit:
Richtig Ruth, die Bundesverfassung ist ein sehr guter Vergleich.
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Roland Isler écrit:
“Ferner wären ja bei einer Wahl, nur diejenigen Stimmberechtigt, die sich per eVoting angemeldet haben. Was ist denn mit denjenigen, die kein Internet haben?”
Das Wahlrecht ist ein Recht und Privileg, es besteht kein Anmelde-Zwang. Das heisst, man darf ein gewisses Mass an Eigenverantwortung voraussetzen. Wenn eine(r) kein Internet hat, soll er/sie zu jemandem gehen der eins hat oder ein öffentliches Internet-Café benützen. Ich denke, heutzutage darf man das erwarten.
Das Problem liegt ganz wo anders. Leider ist es so, dass das e-voting kantonalen Bestimmungen unterliegt und nicht alle Kantone offerieren Auslandschweizern die Wahl per Mausklick. Diese Barriere muss beseitigt werden, sonst besteht tatsächlich eine Diskriminierung.
Keinen Auslandschweizerrat ohne die ASO? Die ASO hat eine bald hundertjährige Geschichte im Einsatz für uns Auslandschweizer und hat in dieser Zeit auch einiges erreicht. Ich kann mir keine andere Organisation vorstellen, die dem gleich kommt. Im Prinzip aber, könnte es auch vom Bund organisiert werden sofern die Unabhängigkeit gewährleistet ist. Oder es könnte eine multi-parteiliche Organisation sein, also eine Organisation die von allen politischen Parteien gemeinsam unterhalten wird. Es gäbe da bestimmt noch mehr Ideen.
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Michèle ETTLIN-MOLLATTE écrit:
Bonjour à tous,
Mathias Zimmermann a raison et je suis arrivée aux mêmes conclusions que lui quand j’ai découvert l’existence du CSE il y a un peu plus de 18 mois.
Pour être comprise des « Français », je dirais qu’il est normal que le comité directeur de la CGT soit élu par ses sections syndicales et non par l’ensemble des salariés français. Mais, pour rejoindre ce que dit Philippe, la CGT ne représente pas tous les salariés français, elle représente ses syndiqués. Donc il est normal que l’OSE qui défend ses membres suisses de l’étranger ait des délégués élus par ses membres.
Le contenu de ce paragraphe étant franco-français, je ne le traduis pas, d’autant plus qu’il a déjà été largement débattu dans plusieurs langues l’année dernière.
Concernant les autres informations déjà données sur ce fil, je remercie Philippe de nous permettre de prendre du recul grâce à ses rappels historiques. Je me permets d’ajouter que ses informations nous montrent qu’il y a aussi eu parmi les Suisses de France des têtes pensantes et agissantes.
Als ich vor fast 2 Jahren den ASR entdeckte, habe ich schon die ASO mit einer Gewerkschaft verglichen, was Mathias Zimmermann Recht gibt. Mehr Details sind in mehreren Sprachen in früheren Threads zu finden.
Philippe bin ich für seine historischen Informationen dankbar, die uns « weitsichtig » machen können. Interessant ist ausserdem zu bemerken, dass Frankreich auch denkende und handelnde Schweizer hatte. -
Ruth Thomas-Lehmann écrit:
Ich sehe dies auch so, Roland. Zudem möchte ich hierzu noch sagen, dass früher die meisten Schweizer im Ausland sich bei einem Schweizerklub meldeten, und beigetreten sind. Heute ist es umgekehrt, die meisten, vor allem die jungen Auslandschweizer treten aus verschiedenen Gründen keinem Schweizerklub mehr bei. Dank Internet können sie sich online treffen irgendwelche ‘social gatherings’ übers Internet oder mit Smart phones (FB und dergleichen) organisieren. Man trifft sich ‘ad hoc’ ohne Statuten etc. Ist vielen viel angenehmer als ein Vereinsabend. Vor allem diese Art von Auslandschweizer haben aber auch Interesse was in der Schweiz passiert, wie abgestimmt wird ZB bei dieser Ecopop Abstimmung und dass sich ein ASR für die Interessen der Auslandschweizer einsetzt. Grund: viele dieser Generation Schweizer wollen eventuell wieder zurück in die Schweiz reisen. Der Auslandschweizerrat hat die Pflicht meiner Ansicht nach, die Interessen aller Schweizer im Ausland zu vertreten, nicht nur die Interessen der Mitglieder eines Schweizerklubs, deshalb ist es richtig, dass die Wahl dieser Räte offen ist für alle Auslandschweizer, die wählen möchten und nicht nur für Klubmitglieder. Auch eine Stiftungsurkunde kann mal erneuert werden und der Zeit angepasst werden. Auch die Bundesverfassung von 1874 wurde up-to-date gebracht im 1999. Am Rande erwähnt sei auch die Schweizer Nationalhymne, der ein Up-Date bevorsteht.
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Peter Bannwart écrit:
Roland ich bin mit dir einig, daß man sich der Zeit anpassen sollte. Aber in erster Linie sollte jetzt erstmal das Auslandschweizer Gesetz abgewartet werden und daß dir die ASO verankert ist darin. Ferner wären ja bei einer Wahl, nur diejenigen Stimmberechtigt, die sich per eVoting angemeldet haben. Was ist denn mit denjenigen, die kein Internet haben? Da wäre ja auch wieder eine Diskriminierung von einzelnen Auslandschweizern? Ferner bin ich der Überzeugung, daß es ohne ASO keinen Auslandschweizerrat geben würde?
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Philippe ALLIAUME écrit:
Halo Roland.
Il ne faut pas confondre ce que l’ASO s’est attribué et ce que l’ASO a obtenu.
Cela fait très longtemps que je m’occupe du sujet, et j’ai dans mes dossiers pas mal de courriers de l’ASO et d’autres qui expliquaient par écrit pourquoi les enfants de mère suisse nés à l’étranger ne pouvaient pas être suisses (1) , pourquoi il ne fallait pas donner le droit de vote en matière fédérale aux suisses de l’étranger(2), etc ..
Ce qu’il faut savoir c’est que l’ASO a un rapport étroit avec le DFAE et ne demande sérieusement les choses que « quand le DFAE est pret à lui accorder ».
La revendication (1) est une revendication du Swiss Action Group Jean Inebnit, puis du GEHP, qui a été combattue par l’ASO pendant des années avant d’être « récupérée » au bon moment par l’ASO.
La revendication (2) est un revendication des VZ et du GEHP qui a été de même combattue par l’ASO avant d’êer récupérée.
Quand je dis cela, je ne fais pas le procès de l’ASO, je rappelle simplement des vérités historiques. Il est « normal » que l’ASO ne soit pas en pointe sur les revendications et ne revendique pas des choses dont 90% des Suisses de l’étranger se contrefichent.
Mais du coup, s’en attribuer la paternité après coup n’est pas honnête.
Short Sum-up-
ASO as fithed againt a number of revendications, as passport for children born abroad from a swiss mother or federal vote for swiss abroad. Those revendications « belong » to non ASO groups.Ao only asks for something when the Confederations « allows » her to do so. I have a lot of letters about that.
This can be normal. ASO doesn’t want to be « the first » or « the only one » to ask for something and largely prefers tio wait till the subject is « in time ». But ASO should not try to rewrite history and inherit from what is not her victory.
I have lareg historical documents about this but unfortunately in French.
For the second paragraph, when you say « Frenchies want to receive all and never to pay », you think about .. all those swiss abroad who want to keep a swiss bank accoutn and do not want to pay fo that ? .-) I am not in the list .
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Roland Isler écrit:
In sehr guter Punkt den Du da aufwirfst Peter.
Wenn man die Stiftungsurkunde isoliert betrachtet, dann stimmt was Mathias sagt vollkommen. Aber wo wären wir, wenn mann immer alles beim alten lässt. Erstens muss berücksichtigtr werden, wann die Urkunde geschrieben wurde. Zu einer Zeit wo es viel weniger Auslanschweizer gab als heute, zu einer Zeit ohne Internet, wo Schweizervereine tatsächlich einen ganz anderen Stellenwert hatten als heute. Sie waren unentbehrlich um Kontakte mit anderen Auslandschweizern zu pflegen. Zweitens muss berücksichtigt werden, dass die Wahl der Räte zu jener Zeit gar nicht anders möglich war als durch die Schweizervereine.
Die Stiftungsurkunde und somit auch das ASO-Statut muss flexibel sein um an heutige Werte angepasst werden zu können.
“Wenn Dritte nun darauf drängen, der ASR soll durch alle Auslandschweizer gewählt werden, dann muss ich entgegnen, die Stiftungsurkunde lässt dies nicht zu. Wenn Leute innerhalb der ASO die Wahl des ASR durch alle Auslandschweizer vorantreiben, dann meine ich, dass sie den Stiftungszweck damit hintertreiben.” Mit dieser Einstellung hilft der Matthias niemanden, weder den Auslandschweizern die wir vertreten, noch unserer Organisation.
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Peter Bannwart écrit:
Hallo Philippe, mein französisch ist nicht so gut, so daß ich dir auf deutsch antworte. Ich bin der Überzeugung,, daß es nur in Frankreich diese Überzeugung gibt? Ich muß euch einmal sagen, daß wir Auslandschweizer viele Errungenschaften nicht hätten, hätte sich die ASO nicht dafür stark gemacht. Denke nur einmal daran, daß du ohne die ASO keine Idenditätskarte mehr hättest, wenn du im Ausland wohnst. Es ist doch einfacher mit der ID rumzulaufen, als immer den Paß bei sich zu haben?
Ferner möchte ich euch « Franzosen » einmal sagen, daß euer Streit, den einige von euch immer wieder vom Zaun reißen, vielen auf den Wecker geht. Ihr wollt immer von allem profitieren aber keine Gegenleistungen erbringen.
Also überlegt euch mal, wieviel ihr auch von der ASO profitiert? -
Philippe ALLIAUME écrit:
Bonjour !
Question très intéressante qui nécessite un rappel historique.Parmi les gens qui contestent l’OSE, personne ne lui conteste le droit d’être une fondation privée, établie par sortie de la NHG, et servant de coordination ou de faitière aux CLUBS suisses.
L’OSE n’est pas contestée en tant qu’organisme privé qui représente quelques centaines d’associations qui ont choisi d’y adhérer ( ce qui n’est pas le cas de toutes les associations suisses à l’étranger), lesquelles représentent au total un tout petit % de tous les suisses de l’étranger, puisque la très grande majorité des suisses de l’étranger ne sont pas adhérents d’associations.
Mais où les choses se gâtent, c’est quand l’OSE croit pouvoir s’autoriser à parler au nom de TOUS les Suisses de l’étranger, voire, pire, s’autointuler le PARLEMENT de la CINQUIEME SUISSE.
Un PARLEMENT dont le corps électoral ne représenterait que x°/°° de la population, cela ne fait pas sérieux. On n’est plus au XVIIIème siècle.
Et c’est pour essayer de masquer cette incapacité légale à représenter les suisses de l’étranger malgré son titre ronflant de « »parlement » » que l’OSE a fini par se rallier à l’idée que le CSE serait plus crédible s’il était élu au suffrage universel direct par 700 000 suisses de l’étranger et non au suffrage indirect par 300 associations représentant 5 000 suisses au maximum.
Mein Schhriftdeutsch ist schlecht, so Entschuldingung fut mein ANtwort in Französich. Little Englisch sum-up
ASO is a private institution, and as a private institution can speak on behalf of 300 private associations and 5 000 swiss citizen who belon to these associations. No one wants to deny ASO this right.
But ASO is not entitled to speak as PARLIAMENT OF THE FIFTH SWISS no more han it is entitled to speak on behalf of the 700 000 Swiss abroad. It is not elected and since XVIIth century an last, a parliament is elected by all citizens.
It is in its trial to hide its native and stratuctural incapacity to speak on behalf of the fifth Switzerland and to represent the 700 000 swisss citizen abroad that OSE began to speak about a direct elction.
The opposants did not ask for a direct election of ASR, they asked for a direct election of real MP’s, with all the legal power of a MP, where a member of ASR as only the right to be heard, and then » aoh .. thank you for your consultative position, but, sorry, it is not possible, have a nice trip back and see you next year ».
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Peter Bannwart écrit:
Anlässlich der ASO-Konferenz in Baden, wurde folgender Antrag an die ASO gerichtet von Mathias Zimmermann, Berlin Über die Wahl der Auslandschweizerräte.
Ich möchte heute den Beschluss aus 2012 und die aktuelle Diskussion
ins Verhältnis zur Stiftungsurkunde der Auslandschweizer-Organisation
setzen.
Dazu erinnere ich an den Artikel 2 der Stiftungsurkunde,
ich zitiere:
Die Stiftung verfolgt den Zweck,
die Beziehungen der Auslandschweizer unter sich und zur Heimat
zu fördern und ihre Interessen wahrzunehmen.
In Erfüllung dieses Zweckes unterstützt sie die Bildung und die Tätigkeit von Schweizervereinen.
Sie behandelt die wichtigen Fragen der Auslandschweizer-Politik und
vertritt die Auslandschweizer vor der Öffentlichkeit, vor den Behörden
und bei den Institutionen der Schweiz.
Weiter möchte ich den Absatz 1 des Artikels 4 zitieren:
Die Auslandschweizer-Organisation wird getragen
von der Gesamtheit der Schweizervereine.
Die Neue Helvetische Gesellschaft hat unserer Stiftung
bei ihrer Errichtung Folgendes mit auf den Weg gegeben:
• Die Stiftung soll die Interessen der Auslandschweizer vertreten UND
• die Schweizervereine haben eine herausragende Stellung
sowohl für die Stiftung als auch in der Stiftung.
Wenn Dritte nun darauf drängen,
der ASR soll durch alle Auslandschweizer gewählt werden,
dann muss ich entgegnen, die Stiftungsurkunde lässt dies nicht zu.
Wenn Leute innerhalb der ASO
die Wahl des ASR durch alle Auslandschweizer vorantreiben,
dann meine ich, dass sie den Stiftungszweck damit hintertreiben.
Wenn dieser Rat -als Leitungsorgan der Stiftung-
Beschlüsse fasst, die den Schweizervereinen das Wahlrecht entzieht,
dann stelle ich fest, dass der ASR seine Kompetenzen überschreitet.
Nun bin ich gespannt, was ihr dazu sagt: Hoffe auf eine interessante Diskussion.
Forums de discussion » Politique » Conseil des Suisses de l’étranger » ASO-Wahl der Auslandschweizerräte
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