Sur Swisscommunity, le ridicule ne tue pas, mais il y a quand même des blessés graves

Mais pourquoi continuer sur le sujet, me direz-vous ? D’une part parce que certains m’interpellent, d’autre part parce que l’observation d’un zoo est toujours riche d’apprentissage.

La saga de SC continue.

Nous avons déjà abordé le sujet des exclusions sans justifications, ou plus exactement avec des justifications que l’un ou l’autre affirme détenir, mais est incapable de produire quand on lui demande.

Nous avons déjà abordé le sujet des bases légales plus que discutables, l’OSE semblant ignorer que le droit international s’impose et n’est qu’assez peu compatible avec sa conception bernoise de l’étroitesse. 

Mais là il se développe un autre phénomène au moins aussi amusant. Les fils de discussion deviennent de plus en plus abscons car les messages, y compris passés, disparaissent, se modifient etc .. rendant le tout complètement incohérent.

Nous avons cherché à comprendre pourquoi et comment et ce n’est pas simple.

– ce ne serait, selon eux, pas les modérateurs. Ces derniers nient farouchement avoir la possibilité de modifier les messages des autres. Nous ignorons si c’est vrai ou pas, d’autant plus qu’il est assez visible qu’à défaut de le faire eux-même, ils n’hésitent pas à tirer la sonnette pour que d’autres le fassent.

– est-ce alors une erreur de manip des contributeurs qui crient par ailleurs à la censure. On y a pensé, mais c’est tout de même fort étrange comme ces contributeurs feraient des erreurs de manip uniquement sur  des propos qui dérangent l’OSE. A ce point là, le hasard, on n’y croit plus.

– il y a bien sur les « courageux » va-t-en guerre prompts à agresser ceux qui ne partagent pas leur point de vue unanime qui, quelques jours plus tard, vont discrètement faire disparaître leurs propos aussi bêtes que méchants, en se disant que peut-être ça ne donne pas une bonne image d’eux …   Ceux là, tant qu’on aura pas inventé le vaccin contre le ridicule, on ne pourra rien pour eux.

– on a pensé aux bugs informatiques, mais les bugs ne touchent pas systématiquement deux ou trois personnes qui dérangent et uniquement leurs propos non OSE-approuvés.

– mais une fois tout cela traité, il reste des censures a posteriori, nombreuses, prouvées pour qui a de la mémoire ou un bon Ctlr-C, et toujours inexpliquées.  

Passons rapidrment aussi sur l’élégance de l’administratrice qui affiche un tel mépris des romands qu’elle justifie en allemand la dernière exclusion. 

Donc, jusqu’à preuve du contraire, il y a bel et bien de la censure sauvage sur SC, sauvage car niée, faite en douce et même pas assumée.

Et comme la censure et le mensonge sont souvent deux piliers complémentaires de ceux que la réalité effraie, il est parait-il nécessaire que je confirme que les propos courageusement tenus dans mon dos, sans droit de réponse, et affirmant que j’aurais harcelé je ne sais qui de messages privés sur le CSE sont parfaitement FAUX.

Je le défie de publier des messages qu’il aurait reçu de moi, d’autant plus que sauf erreur il s’exprime presque uniquement en allemand et que mes posts sur SC sont presque uniquement en Anglais et en Français.

Je ne sais pas s’il perd la tête, s’il me confond avce un autre dans sa hargne anti francophones, ou s’il tente maladroitement de justifier a posteriori les décisions de ses petits camarades de la propaganda staffel, mais je m’inscris en faux contre ces allégations.

On m’a suggéré que ces allégations seraient diffamatoires à l’encontre d’un journaliste. J’ai la faiblesse (ou la prétention) de penser que les avis de la propaganda staffel de l’Ose sont si peu écoutés qu’ils peinent à être diffamatoires.  Comme disait Claude Rich dans les Tontons, vos avis, je vous recommande de ne les utiliser qu’en suppositoires.

L’OSE en France  combien de divisons ? entre 1 et 2% des Suisses de France .. la bonne blague. Et tellement notoire qu’entre la présidente (autoproclamée), l’ancien président que d’aucuns et non des moindres prennent pour le président actuel,  et les ff de président, plus personne ne s’y retrouve.

Bref, navrant.